AGIR contre les impayés
RGC Contentieux Vétérinaire est une société spécialisée dans le recouvrement vétérinaire
Pour agir contre les impayés, les vétérinaires ne sont désormais plus seuls.
Une société de recouvrement parisienne, RGC Contentieux Vétérinaire, propose ses services au moyen d’une procédure simple et rapide, sans frais de dossier. Explications.
Qu’il s’agisse d’une consultation à 40 euros ou de soins plus lourds, dont le coût peut atteindre plusieurs centaines d’euros, peu importe le montant, explique Steve Manai, directeur de la société RGC Contentieux Vétérinaire. Une seule condition existe : que la créance soit datée de moins de cinq ans. « J’interviens auprès des vétérinaires français pour obtenir le solde de dettes laissées par certains de leurs clients. Même celles qu’ils considèrent perdues. Cela, et c’est notre spécificité, sans avance de frais », explique le spécialiste du recouvrement.
RGC Contentieux Vétérinaire s’est spécialisée dans le secteur vétérinaire. Car, contrairement à la plupart des sociétés de recouvrement qui offrent leurs services à tous types d’entreprises, le domaine vétérinaire possède des spécificités dont il faut tenir compte. Pour Steve Manai, cette approche sectorielle est avant tout une question de « qualité de service ».
Atteindre l’objectif dans le respect de la clientèle.
L’objectif est le solde total des créances, la procédure est simplifiée. Concrètement, il suffit pour les vétérinaires de s’inscrire sur le site internet de RGC, via un formulaire de contact. « Nous avons articulé notre concept autour de la simplification des démarches, pour atteindre notre objectif qui est le solde des créances de nos clients.
Nous avons voulu faciliter cet aspect de leur business qui leur semble souvent désagréable, mais qui est pourtant nécessaire. » Une fois les coordonnées du débiteur validées, la procédure de recouvrement peut aller très vite. « Mais pas question pour autant de se conduire en cow-boys », ajoute Steve Manai. Si certaines agences de recouvrement font usage de méthodes à la limite de la légalité, ce n’est pas la méthode, ni la démarche défendue par RGC Contentieux Vétérinaire. « Il ne faut pas oublier que nous avons affaire à des personnes. Si nous voulons qu’ils remboursent les sommes dues à nos clients, nous souhaitons également préserver la relation avec leur vétérinaire. Nous devons pour cela les traiter avec respect et dignité. »
Toute dette doit être remboursée, même la plus petite
Par crainte d’avoir des frais de recouvrement plus importants que le montant de lacréance elle-même, la plupart des vétérinaires n’osent pas engager de démarche pour recouvrer ce qui leur est dû. Bien souvent, lorsqu’ils prennent contact avec RGC pour la première fois, c’est que leur créance avoisine déjà 200 d’euros. Un délai inutile, puisque la particularité de RGC Contentieux Vétérinaire est de se rémunérer au moyen d’une commission sur la somme récupérée et ce, sans minimum exigé.
Tout impayé devant être remboursé, le recours peut être engagé dès 30 euros. Il n’y a aucun frais de dossier à prévoir pour le vétérinaire, qui reste libre de tout engagement.
Comme tous les professionnels de santé libéraux, les vétérinaires ont des charges à régler, souvent importantes, à la fin du mois. Une facture qui n’est pas payée peut vite mettre à mal l’équilibre de leur trésorerie. Pas de place, donc, pour la caricature, ou la croyance populaire qui veut que le vétérinaire n’aurait pas à s’inquiéter de sa « fin de mois ». D’autant plus lorsqu’il s’agit parfois de sommes élevées.
« Comme j’aime à le rappeler, les vétérinaires ont passé du temps avec l’animal. Il est légitime, dès lors, qu’ils soient payés comme convenu pour leur intervention », ajoute Steve Manai. Et de rappeler le cas d’un vétérinaire qui l’a contacté un jour pour une dette de près de 10 000 euros, datant d’un ou deux ans. Une situation compliquée qu’une autre agence de recouvrement n’avait pas su résoudre et que RGC a menée à bien, à la plus grande joie et satisfaction du vétérinaire.
Ne rien laisser de côté
Pour Steve Manai, il n’y a pas de grande rivière sans petit ruisseau. Les petites dettes amoncelées au fils de mois finissent par représenter à la fin de l’année de grosses pertes pour les cabinets vétérinaires. Aussi, lorsqu’une procédure est lancée, il est demandé au client s’il n’existe pas dans sa comptabilité d’autres créances en souffrance. « Bien souvent, il en retrouve plusieurs et récupèrent 30 euros par-ci, 60 euros par-là, il finit presque par trouver cela amusant. »